vendredi 23 mars 2018

Humeur du matin

...guillerette. Une nuit agitée mais j'ai tenu bon. Un réveil silencieux puis le sourire devant un sms de ma soeur, couchée dans la chambre du fond: "youhou! Tu boudes ou tu redors déjà?"
Nous avions parlé d'échanger des sms, en écho aux coups de fil quotidiens très matinaux et le sien m'a joyeusement surprise. Bon, ça, c'est fait! 😉
Hier fut génial. Soleil et vent glacial lors de notre départ. Nous avons garé la voiture sur le parking des Galeries Lafayette de Bron, traversé le magasin pour déboucher au milieu des (interminables) travaux aux alentours. Franchir le carrefour fut un challenge mais l'entrée de la station de métro était tout près. Des places assises et une dizaine de stations plus tard, nous débarquions sur une autre planète. Arrêt Guillotère/ Gabriel Péri. Un brouhaha en haut du grand escalier et des hommes agités postés. Pas trop rassurées car nous ignorions ce qu'il se passait. Nous fûmes accueillies au cri de "cigarettes! Marlborough!".
Nous n'avons pas compris s'ils en vendaient ou s'ils en réclamaient. Arrivées sur la petite esplanade, nous découvrîmes une foule compacte et bruyante d'hommes et de femmes (mais majoritairement d'hommes), occupés à un petit marché illégal. Des objets, chaussures étaient mis en vente à même le sol. Traverser cette foule fut une gageure et nous nous hâtâmes de traverser la rue et les lignes du tramway dans l'espoir d'être enfin tranquilles. Las!
Sur l'autre trottoir, une succession de magasins de transferts d'argents, de ventes de téléphones, de petits bistrots turcs et des hommes qui entraient et sortaient. Attention: aucun regard ni mot agressifs! Ils faisaient seulement leur business!
Les plans de la ville étant illisibles, nous nous résignâmes à entrer dans un magasin dédié aux mariages. La patronne m'y reçut fort aimablement et rechercha sur Mappy où se trouvait notre destination. Une fois l'information donnée, nous repartîmes le long de la rue de Marseille en évitant les hommes stationnés et immobiles devant les boutiques.
6 minutes de marche plus tard, nous arrivions rue de Bonald et nous découvrions le restaurant la Maïoun. Nous y entrâmes afin de nous mettre au chaud et à l'abri de la bise glaciale
https://www.lafourchette.com/restaurant/la-maioun/74768
La jeune hôtesse nous apprit en riant que nos amis venaient de passer et étaient allés se promener en nous attendant. Nous nous installâmes autour de la grande table en bois et le petit groupe arriva peu de temps après. Que dire? Menu excellentissime, accueil adorable, prix plus que corrects. Je recommande!

Résultat de recherche d'images pour "la maioun lyon 7"

Photo de La Maïoun - Lyon, France

A notre retour, nous en avons profité pour nous promener dans les allées des Galeries Lafayette. Une très mauvaise surprise en découvrant que le rayon Librairie avait été supprimé!  Ma soeur en profita pour acheter des vêtements pour sa future petite-fille qui doit naître au mois de Mai.
Le retour chez moi fut apprécié et nous nous écroulâmes en arrivant. Repas vite expédié, télévision puis le marchand de sable passa et déversa une tonne de sable du sommeil.
Tout à l'heure, j'emmènerai ma soeur chez le coiffeur à Montchat puis j'irai faire quelques courses en l'attendant. Nous irons chercher Léna à la MJC à 16h30.
La retraite n'est pas un long fleuve tranquille! 😊

1 commentaire:

  1. Hello! I could have sworn I've visited this site before but after browsing through some of the posts
    I realized it's new to me. Anyhow, I'm certainly happy I stumbled
    upon it and I'll be book-marking it and checking back frequently!

    RépondreSupprimer

Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :

1) Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessous
2) En dessous de Choisir une identité, cocher Nom/URL
3) Saisir votre nom (ou pseudo) après l'intitulé Nom
4) Cliquer sur Publier commentaire

Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!

Humeur du jour

 Un si long silence! Au début, j'étais préoccupée par de nombreux rendez-vous médicaux puis le non désir pointa son nez et je m'éloi...