dimanche 21 novembre 2021

Humeur du jour

 Martine, le retour! Bonjour!

Ma vie trépidante des derniers jours effaça toute velléité de m'asseoir devant un écran pour me raconter.

Comment furent donc occupés ces derniers jours? Je me creuse le brushing (expression trouvée sur internet et qui me fait rire) pour ne rien oublier.

La météo d'abord, qui fut la même pendant mes pérégrinations: gris blanc, brumeux et quelques degrés au-dessus de zéro.

Vendredi matin: rendez-vous avec ma belle-fille et sa mère qui vient de déménager sur Courzieu et qui a besoin de meubles de cuisine. J'étais sur le pont à 10h, heure d'ouverture d'Ikea. Je choisis d'arpenter l'étage vers lequel l'escalier mécanique m'amena. Décoration, linge de maison et de lit, vaisselle. Une longue marche usante dans des allées surchauffées. Péniblement arrivée aux caisses, je m'interrogeai: mais où se trouvait l'espace dédié aux cuisines? L'avais-je manqué? Je refis le trajet dans ma tête sans trouver de réponse. J'optai pour le plus simple et direct: interroger un membre du personnel.

Etage de dessus! Une crispation me parcourut le corps accompagnée d'une vague de désespoir. Quoi? Refaire le même parcours mais à l'étage supérieur?

Tête basse et en nage, je parcourus l'espace menant aux ascenseurs et arrivai à l'endroit désiré. Un appel de ma belle-fille me guida vers elles deux et nous partîmes de concert. Josette et moi tirions la patte, elle pour ses douleurs aux pieds et moi pour mes genoux. Ma belle-fille est l'efficacité et l'intelligence pratique mêmes. Elle nous envoya vers l'espace des plans de travail et portes tandis qu'elle attendait un ticket de passage. En revenant, elle nous confia son désir de boire rapidement un café car nous avions une bonne heure d'attente avant de passer devant un conseiller dédié aux cuisines.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Installées tranquillement à une table, nous examinâmes le plan, les choix de Josette et nous réalisâmes que nous n'avions nul besoin d'un conseiller. Les emplacements des colis étaient inscrits et nous pouvions nous servir nous-mêmes. Un poids se détacha de nos épaules et c'est gaiement que nous nous dirigeâmes vers la cafétéria. Un repas bavard, détendu et délicieux.

 Nous nous séparâmes alors, après des bisous masqués qui nous donnèrent le sourire tant nous nous trouvâmes ridicules: elles descendirent les escaliers afin d'aller chercher les colis choisis et moi, je quittai le magasin.

Je les abandonnai pour retrouver mon quartier et dénicher une place de stationnement proche de ma pharmacie. Las! Des dizaines d'hommes sans occupation exceptée celle de discuter entre mecs, avaient envahi tous les espaces, empêchant même les autres passants de pénétrer dans les parkings. Très en colère, je fis deux fois le tour du quartier et de guerre lasse, je pris le chemin du retour. 

Samedi matin brumeux et froid. Direction l'hypermarché Carrefour voisin, envahi dès l'ouverture par une nuée piaillante. Je dénichai la cafetière Senseo que je reluque sur leurs publicités depuis quelques semaines ainsi qu'une balance. La mienne a rendu l'âme (mais non, mon poids n'a rien à y voir! Une obsolescence programmée doit en être la cause!). 😁

Un détour par la pharmacie devant laquelle une miraculeuse place de stationnement m'attendait. Une infirmière me fit le vaccin antigrippal et je repartis, heureuse, sans oublier d'acheter mon Huile essentielle de menthe poivrée. J'ai commandé de mini rollers en verre sur Amazon et vais préparer une synergie magique anti-rhume que je distribuerai à la famille et aux amis.

30 gouttes d'HE de menthe poivrée

20 gouttes de tea tree

20 gouttes de Ravintsara (ou Nialouli, plus curatif que Ravintsara préventif)

20 gouttes d'Eucalyptus Radiata 

A "roller" sur tempes et poignets plusieurs fois par jour.

J'avais décidé de buller pendant le week-end, le temps de laisser à mon corps le temps de digérer le vaccin mais les autorités en avaient décidé autrement. Un tournoi sur le stade avec haut-parleur, cris et chants emplit l'espace et me tint compagnie jusqu'à plus de 20h. Je n'en peux plus entre le chantier d'un côté et ce stade de l'autre.

 Manque de sommeil ces deux nuits à cause de la Pleine Lune du 19. Explication à vérifier: la faute probable de la diminution du niveau de mélatonine endogène, l'hormone du sommeil qui régule notre rythme chronobiologique.

https://www.cosmopolitan.fr/pourquoi-on-dort-mal-les-soirs-de-pleine-lune,2023123.asp



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Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!

Humeur du jour

 Un si long silence! Au début, j'étais préoccupée par de nombreux rendez-vous médicaux puis le non désir pointa son nez et je m'éloi...