...enthousiaste mais proche de l'état larvaire!
Que dire de ma journée d'hier? Qu'elle fut intéressante mais suffocante. Le matin, avec 4 surveillants adorables et 120 étudiants assommés par l'enjeu et la chaleur.
Repas de midi en solo dans une classe vide et tranquille. Déchaussée, près des baies vitrées grandes ouvertes, à la recherche d'un filet d'air.
Après-midi dans une salle de classe avec 21 étudiants luisants de sueur. Au bout de dix minutes, garçons et filles avaient ôté chaussures et chemises pour ne conserver que les tee-shirts. Des éventails improvisés ont rythmé le temps de l'épreuve.
Le ciel était noir et l'air brûlant. Lorsque j'ai rejoint ma voiture, de grosses gouttes commençaient à tomber, ne soulevant que la poussière. L'orage éclata plus tard dans la soirée, me contraignant à débrancher l'ordinateur. Mon lit accueillant le remplaça sans problème.
5h30: Je viens de repasser avant la grosse chaleur matinale. Il me reste à préparer le repas que ma miss emportera, un repas équilibré et sain. Elle travaille tant qu'il faut lui assurer sommeil et alimentation adéquate.
Hier, mouvement d'humeur et grogne parmi le groupe de surveillants: en plus de la grève alternative des transports lyonnais ( un jour le matin, le lendemain l'après-midi, etc..), une grève générale est annoncée pour Jeudi, jour du Baccalauréat!
La révolte grondait et des noms d'oiseaux fusaient! Si on peut comprendre les revendications, on a du mal à comprendre certaines décisions.
Que dire de ma journée d'hier? Qu'elle fut intéressante mais suffocante. Le matin, avec 4 surveillants adorables et 120 étudiants assommés par l'enjeu et la chaleur.
Repas de midi en solo dans une classe vide et tranquille. Déchaussée, près des baies vitrées grandes ouvertes, à la recherche d'un filet d'air.
Après-midi dans une salle de classe avec 21 étudiants luisants de sueur. Au bout de dix minutes, garçons et filles avaient ôté chaussures et chemises pour ne conserver que les tee-shirts. Des éventails improvisés ont rythmé le temps de l'épreuve.
Le ciel était noir et l'air brûlant. Lorsque j'ai rejoint ma voiture, de grosses gouttes commençaient à tomber, ne soulevant que la poussière. L'orage éclata plus tard dans la soirée, me contraignant à débrancher l'ordinateur. Mon lit accueillant le remplaça sans problème.
5h30: Je viens de repasser avant la grosse chaleur matinale. Il me reste à préparer le repas que ma miss emportera, un repas équilibré et sain. Elle travaille tant qu'il faut lui assurer sommeil et alimentation adéquate.
Hier, mouvement d'humeur et grogne parmi le groupe de surveillants: en plus de la grève alternative des transports lyonnais ( un jour le matin, le lendemain l'après-midi, etc..), une grève générale est annoncée pour Jeudi, jour du Baccalauréat!
La révolte grondait et des noms d'oiseaux fusaient! Si on peut comprendre les revendications, on a du mal à comprendre certaines décisions.
Image trouvée sur http://www.flickr.com/photos/flore_frmoz/3033928793/
Et comme la matière de jeudi est philo...
RépondreSupprimerOu commence la liberté de chacun?
Bizen
Ps: Et que l'on ne me réponde pas : là ou s'arrête celle de l'autre please!!!
Mais non, mais non, Bizen!
RépondreSupprimerLa vraie phrase c'est: la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres...
En résumé, ma liberté s'arrête là où commence la tienne...
Pas d'bol, nous ne sommes pas libres au même endroit!!!