dimanche 13 décembre 2009

Serge Mendjisky





"Le monotype, en gravure, est un procédé d'impression qui ne permet pas de faire plusieurs épreuves. Il s'agit de peindre à l'encre typographique (aussi appelée aqualaque) ou à la peinture à l'huile, ou à la gouache, sur un support non poreux, en métal, plexiglas, Rhodoïd..

La peinture est ensuite passée sous presse avec un papier qui reçoit l'épreuve, on peut également enduire la totalité du support et appliquer la feuille de papier par dessus. En exerçant une pression à certains endroits avec une pointe ou les doigts, on obtient différentes valeurs de noir et on peut ainsi réaliser un dessin plus précis, et donc différent de la méthode précédente. Le support n'étant pas gravé, il peut resservir pour d'autres monotypes après nettoyage. Le monotype n'est pas une gravure au sens strict, mais une estampe (œuvre obtenue après un pressage manuel ou mécanique). Le terme gravure est devenu un terme générique pour ce type d'œuvres, quelle que soit la technique utilisée.

Le monotype ne peut être numéroté, car, comme son nom l'indique, son tirage est unique."

Merci à Wikipedia

http://www.mendjisky.com/serge%20mendjisky.html
Découvrez comme moi le travail de Serge Mendjisky:
"Serge MENDJISKY est né en 1929. Pendant 40 ans il se consacre à la peinture divisionniste qu’il fait évoluer au fil de son inspiration. Dans les années 90, Mendjisky utilise la macrophotographie pour revisiter les codes du Pop Art. En 2000 il s’intéresse de plus prés à la photographie en lui donnant une dimension picturale. A l’aide de centaines de clichés travaillés, découpés et ensuite collés sur toile, il réorganise l’espace et le temps dans les paysages urbains qu’il affectionne particulièrement .

Le travail de Serge Mendjisky sur la photographie (qui enregistre un instant statique), a apporté un élan vital, une énergie toute nouvelle à ce moyen d’expression. La fragmentation et l’ agencement des éléments formels, comme la photo elle même, la couleur, la ligne, le plan, la perspective déstructurée atteint un but unique : un plus grand effet plastique. Comme le disait Gustave Klucis : « Une prise de vue fonctionne à la fois comme un objet d’art et comme la pièce d’un organisme entier. De toutes les formes artistiques seul le cinéma se rapproche du photos-montage, en ce qu’il intègre une multitude de plans dans une même œuvre. » La déconstruction analytique de ses photographies, inspirée du cubisme s’est complexifiée au fil des années, dans une suite de procédés artistiques allant du changement d’échelle, à l’effet miroir, passant par la mise en espace 3D, et le traitement du contour en arabesque. A Chaque expérience, l’Artiste nous convie à une stimulation visuelle d’une dynamique toujours renouvelée." (lu sur http://www.labaule.com/news/index.php?rub=2&id=7756&cal=true)

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Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!

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