jeudi 7 janvier 2010

Le gang des grands-mères

Le gang des grands-mères


Avec ce froid polaire, rien ne vaut une bonne grand-mère qui se soucie de nous réchauffer les oreilles. Jérémy Emsellem, le créateur du site Golden Hook, vous a trouvé une bande de grands-mères serial tricoteuses : toute la journée, elles
crochètent des bonnets et des écharpes trendy que s'arrachent les frileux du monde entier.

Il vous suffit d'abord de choisir votre grand-mère sur le site Golden Hook : ce sera peut-être Sarah, 85 ans et fan de la Roue de la Fortune, Maïté, entre deux cours de polka, ou encore Ginette, la pipelette tricoteuse.
Puis créez le modèle de votre bonnet ou écharpe en choisissant la forme, la matière et la couleur. Un bonnet classique à pompon rouge, un péruvien en angora, une écharpe jaune en cachemire, c'est vous qui décidez.

La touche finale : une petite étiquette à l'intérieur du bonnet indique le nom de votre grand-mère tricoteuse. N'oubliez pas de lui envoyer un message de remerciement !

Commande de bonnets et d'écharpes sur le site Golden Hook
Bonnet : entre 50 et 70€
Echarpe : 90€
lu sur Mylittlelyon et comme c'est sympa, je fais suivre!

3 commentaires:

  1. Généreuse Quinquabelle qui accueille ces grands-mères tricoteuses et qui fait leur pub.
    Au fond, en écrivant ceci j'ai dans les oreilles Lavilliers qui accueille bien, lui, Césaria Evora?
    Par contre, "Avec le temps", cette merveille d'émotion, que j'entends ensuite, je la préfère donnée par mon frère d'anarchie, Léo Ferré. On ne l'entends plus. Même mort,il doit faire encore peur.

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  2. Sûr que Birkin ne fait pas le poids !!!
    A mon avis, Ferré ne devait pas avoir d'imprésario, anar comme il était, donc personne n'a d'intérêt financier dans le passage de ses chansons...

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  3. Oui, c'est ça, Nicolvig. Sans doute. On attendra les cinquante ans de sa mort pour reparler de lui. Comme pour Albert Camus d'ailleurs et encore. Trublione, sur son blog, a rendu deux hommages à cet homme tourmenté. J'ai apprécié la démarche. Notamment, elle a cité un texte dans lequel Camus parle de la sensation qui l'habite d'un "été infini" comme d'une force qui illumine sa vie.

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Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!

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