samedi 19 février 2011

Humeur du matin

...joyeuse et détendue avec la perspective d'être livrée à moi-même pendant 2 jours d'affilée! Quelques contraintes m'obligeront à sortir de ma coquille mais je préfère ne pas y penser. Ne voir que le positif!
Hier fut détendu avec mon petit groupe réduit de 12 à 8. Les absents semblaient avoir eu du mal à digérer la fête organisée la veille pour cette fin de série d' épreuves :-)
Foule compacte sur les quais du métro mais j'ai appris maintenant à me faufiler tant bien que mal. Une occasion d'énervement renouvelé quand j'arrive au départ d'un métro. Sur le quai, je me positionne à la bonne place, prête à monter dans la prochaine rame, mais il y a TOUJOURS un (ou une resquilleuse) qui vient au dernier moment se faufiler et se placer devant moi pour monter en premier. Arggghh! Je dois avouer que je les mordrais volontiers, ces sans-gêne!
Chaque voyage devient une scène de théâtre où les personnages se croisent. Hier soir fut épique. Deux femmes s'installent près de moi, mère et fille apparemment.
La mère? petite et bien faite, maquillée ou sortant d'un séjour à la montagne, arborant au bras un sac Vuitton et exhibant un Blackberry.
La fille? 16 ans environ , sac de grande marque aussi, mâchant très bruyamment et bouche ouverte, un énorme chewing-gum. Ceux qui me connaissent, savent mon aversion pour ces mâchouilleurs ruminants. Les deux femmes étaient vêtues de la même magnifique doudoune à carreaux noirs et blancs. Etrange!
A l'avant-dernière station avant le terminus, les 2 femmes ont jailli de leur siège pour sauter sur le quai. En l'espace de quelques secondes, des cris ont fusé, suivis par l'entrée remarquée de 2 autres femmes, nord-africaines cette fois. La plus âgée poussait un sac à provisions à roulettes et était cachée sous des vêtements jusqu'aux pieds. La plus jeune, obèse, est entrée dans la rame juste avant la fermeture des portes en poussant une bordée de jurons et d'insultes. Sa violence verbale a surpris les derniers voyageurs et les menaces contre les deux autres voyageuses m'ont fait froid dans le dos. Elle les connaissait et ses paroles ne semblaient pas fantaisistes. Dans ces cas-là, la lassitude m'envahit et je ferme les yeux, priant pour être ailleurs.

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Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!

Humeur du jour

 Un si long silence! Au début, j'étais préoccupée par de nombreux rendez-vous médicaux puis le non désir pointa son nez et je m'éloi...