La maladie n'est jamais une cause. La maladie est une réponse, une pauvre réponse que l'on invente à une souffrance.
(La plus que vive, coll. L'un et l'autre chez Gallimard p. 88)
Qui sait nous donner une joie aussi pure que celle prodiguée par la vue d'un petit nuage blanc dans le ciel bleu ?
(L'éloignement du monde, p.14, Éditions Lettres Vives 1993)
(L'éloignement du monde, p.14, Éditions Lettres Vives 1993)
Il y a une pureté du mal, une lumière du noir.
(Le huitième jour de la semaine, p.21, Éditions Lettres Vives 1986)
(Le huitième jour de la semaine, p.21, Éditions Lettres Vives 1986)
Combien de mois, combien de vies faut-il pour écrire une phrase qui égale en puissance la beauté des choses ?
(Le huitième jour de la semaine, p.58, Éditions Lettres Vives 1986)
(Le huitième jour de la semaine, p.58, Éditions Lettres Vives 1986)
Je lui parle en souriant, comme il convient de parler à ceux que l'on aime.
(Le huitième jour de la semaine, p.30, Éditions Lettres Vives 1986)
(Le huitième jour de la semaine, p.30, Éditions Lettres Vives 1986)
[...] les gens on les aime tout de suite ou jamais.
(La folle allure, p. 16, Éditions Gallimard 1995)
(La folle allure, p. 16, Éditions Gallimard 1995)
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