La pluie martèle violemment et sans interruption le toit et les fenêtres des Vélux. Nous sommes dans et sous l'eau depuis hier et il faut garder patience. Les courses prévues ce matin seront différées à demain. Quelle importance?
Ma belle énergie du retour fut mise à mal par le plaisir de ne rien faire, d'être immobile dans mon cocon retrouvé. J'étais au centre de mon cyclone, connaissant très bien la somme des charges à assumer mais ravie, au fond, de tout laisser de côté. Cela ne peut durer mais laissez-moi apprécier l'instant.
Internet et le fil du téléphone me relièrent à l'extérieur et cela me suffit. Une courte sortie pour aller à la boulangerie proche et rapporter le pain à une voisine puis le huis-clos bienfaiteur.
Ce que sera mon aujourd'hui m'est totalement indifférent. J'improviserai. Je dois quand même avancer sur la correction du livre de cousin Jean. Je l'ai croisé devant la boulangerie hier et il m'a appelée "Nicole", du prénom de ma soeur! Perd-il la tête?
La fréquentation du blog a encore chuté. Ne savez-vous pas que je suis revenue et que vous aussi, vous êtes attendus? :-))
ça me fait pareil quand je reviens de paris ou quand les enfants partent apres un petit séjour!!
RépondreSupprimerMais oui, on est là! Absente moi aussi pendant plusieurs jours, j'ai rattrapé mon retard en visionnant tous les articles non lus.
RépondreSupprimerSur la route, en passant près de Lyon, j'ai vu sur les panneaux des noms de villes qui m'étaient connus grâce à ton blog (Meyzieu notamment) mais nous ne nous sommes pas arrêtés .
Je me suis dit : "Tiens, Quinquabelle vient parfois par ici" :o)))
Meyzieu? J'y ai vécu de 1970 à 2012, un bail en fait! :-))...J'y ai toujours mes amies et m'y rends fréquemment!
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