mercredi 25 novembre 2015

Humeur de ma nuit


...L'oeil droit sur Horatio Caine à Miami et l'autre sur mon écran d'ordinateur, je tente l'exercice du strabisme divergent. C'est un peu douloureux, je l'avoue:-)
Hier fut actif mais je m'y attendais. Froid et brouillard blanc le matin pendant que j'empruntais l'autoroute vers Lyon. Pile à l'heure pour l'ouverture du magasin Boulanger de Beynost et le plaisir d'être la première à y pénétrer, d'être accueillie par l'immense sourire d'un caissier et d'un employé. Ils sont détendus à cette heure de la journée et le calme règne. La conversation y est légère et facile.
Mon ordinateur bien calé entre les sièges de mon véhicule, je pris la direction de Villeurbanne où je débarquais sans y être attendue chez mon fils. Ils étaient tous là: mon fils était en congé et mes petits-enfants malades. Pour Lucie, une pré molaire qui sortait accompagnée d' une bronchite dentaire et une gastro entérite pour Gabriel. L'autre grand-mère était aussi présente et nous discutâmes deux bonnes heures autour d'un café. Il fallut jouer, lire des livres et admirer leurs acrobaties. Le repas de Noël fut finalisé entre femmes.
Ma belle-fille nous montra ses créations: une tirelire cochon rose pour Gabriel et des décorations de Noël maison. Ce sera le premier véritable Noël pour Gabriel et elle tient à en faire une fête familiale et artisanale, pas centrée sur le bling-bling et les paillettes.
Départ un peu avant midi pour me rendre au point de rendez-vous avec mon "livreur de miels". J'ai fait la connaissance d'un jeune homme qui propose des miels bio d'Ardèche et du Jura. J'ai passé une première commande pour mes paniers gourmands de Noël.
Une fois les précieux pots calés dans mon coffre de voiture, je me rendis chez ma Miss où m'attendait un délicieux repas. Ce fut un moment fort agréable mais je dus la quitter vers 14h pour la dernière étape de mon périple urbain: le magasin Castorama de  Bron. Mauvaise humeur devant le mépris et le désintérêt de ces clients masculins indifférents qui vous bousculent, ne vous regardent pas, concentrés sur leurs recherches personnelles au milieu des rayons.
J'avais déjà fréquemment vécu cette situation dans divers supermarchés. La rare clientèle masculine y est odieuse, bouscule, passe devant vous sans remords.
Retour en fin d'après-midi, lessivée par cet emploi du temps chargé mais heureuse d'avoir vu ma tribu.
Aujourd'hui sera calme et clos pour récupérer et avancer un peu dans le tri avant déménagement.

2 commentaires:

  1. Donc les jeunes mâles mielleux sont tops... ?? Et moi qui ai 60 balais et arpente les coursives de Brico, Carrouf et autres lieux magiques (courses de caddie, concours de la caissière la plus sexy, patinage sur salade au rayon légumes) suis donc un vieux schnock grognon sans éducation? Ne croisez pas mon chemin Dame de l'Ain.... Bizen

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    1. Mais toi, tu es spécial! Charmant et bien élevé...donc tu ne rentres pas dans la catégorie visée des gros boeufs grognons. Bon, grognon, tu l'es un peu mais...on t'aime comme ça!:-))

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Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!

Humeur du jour

 Un si long silence! Au début, j'étais préoccupée par de nombreux rendez-vous médicaux puis le non désir pointa son nez et je m'éloi...