jeudi 24 août 2017

Humeur du matin



4h45: nuit ou matin?:-))
Bref, je suis debout! Couchée hier avant les poules tant j'étais fatiguée, je me suis endormie sitôt la tête sur l'oreiller. 


 
Il y a des matins ternes et d'autres au doux son de clochettes ou claironnants comme des cuivres. Avant d'entamer ma journée de blogueuse, je fouine, furète, tourbillonne et me noie dans des centaines de pages écrites par d'autres.
Et soudain, au détour d'un site sur lequel ma souris s'est mollement égarée, je découvre des mots, des sentiments familiers, avec une sensation aigüe de connivence. Lui pourrait être moi dans ses citations, dans ses réflexions et une vague de bonheur simple me submerge.
Alors, avant même d'écrire mes mots à moi, je vous offre d'abord ceux glanés sur ce magnifique site supprimé il y a peu: http://merlinades.blogspot.com/...Quel dommage!

"Il existe une race, voyez-vous, les hommes qui portent en eux un clochard en filigrane, ceux qu'un rien rend heureux, un merle sur l'herbe, des lichens sur un mur, une flaque de soleil sur un arbre, ceux qui vivent pleinement l'instant, ils sont immortels, c'est pour eux que j'écris." (Jean Sulivan)

Hier fut lumineux et sans apprêts: une longue sortie l'après-midi, générée par le message matinal de ma belle banquière. Le prêt avait été accepté et je pouvais aller signer le contrat. Youhou!

Aussitôt dit, aussitôt fait. J'entrai avec délice dans l'air climatisé de l'agence et découvris la peau fraîche de la jeune femme dans une poignée de main ferme et accueillante.
Quelques soucis pour la signature officielle et définitive (et oui, vacances égalent absence de la chef d'agence) puis je retrouvai la lumière crue et la chaleur intense de la rue. Un passage au magasin Grand Frais local pour faire le plein de fruits et de légumes puis je réintégrai mes pénates. Ma belle Miss y était déjà, affinant son bronzage estival.
Un repas frugal mais équilibré nous réunit le soir devant des rediffusions d'émissions anciennes puis elle repartit en me laissant seule. Vite, clore les fenêtres et les volets et savourer le calme retrouvé.
La moiteur de l'aube et le son perceptible de la circulation matinale sur le boulevard périphérique laissent présager un changement météorologique. Pleuvra t'il aujourd'hui? Mon temps sera dévolu à Lucie et Gabriel que je garderai pendant que leurs parents peaufinent leur prochain déménagement. Ces jours, chaque membre de la famille donne un coup de main en gardant les petits à tour de rôle et aujourd'hui, c'est mon tour! On s'accroche!

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Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!

Humeur du jour

 Un si long silence! Au début, j'étais préoccupée par de nombreux rendez-vous médicaux puis le non désir pointa son nez et je m'éloi...