dimanche 25 octobre 2009

humeur du matin


...reposée malgré une nuit morcelée. J'étais si énervée et tendue que j'ai eu du mal à m'endormir. Hier, nous avons subi 3 heures de violences conjugales chez un couple de l'allée voisine. C'était si intense que j'en tremblais des pieds à la tête. Des souvenirs personnels sont remontés à la surface et j'ai pleuré, toute seule sur mon canapé.
J'ai téléphoné à la police mais je n'étais apparemment pas la première. Ils semblaient être au courant.
Et hier soir, vers 20 h, une musique arabe d'une puissance rare a éclaté, m'obligeant à monter le son de ma télévision puis à me réfugier devant mon ordinateur. La musique du blog peinait à couvrir le bruit. Il me fut impossible de découvrir l'origine de ce boucan et je n'avais pas le courage - ou assez de colère - pour m'habiller et partir dans l'obscurité.
Je n'ai plus ni patience ni courage. Il faut impérativement que je me mette à la recherche d'un autre logement!
J'ai beaucoup posté hier, sachant que je serai absente aujourd'hui: je dois passer chez Rose pour travailler avec elle à son manuscrit puis voir mon fils fiévreux et caché sous sa couette. Je terminerai mon périple par une visite au magasin Castorama, exceptionnellement ouvert aujourd'hui. J'adore ça!

3 commentaires:

  1. Quelle vie tu mènes Martine ...
    Cherche un lieu de vie plus propice à la sérénité ! Tu dois trouver en t'éloignant de la " grande ville " ..

    Je te souhaite de passer une bonne journée.
    N'attrape pas le grippe à n°...
    bises d'As.

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  2. quelle vie tu mènes ? je dirais plutot qu' elle vie on nous fais mener. Si je puis me permettre la maltraitance des femmes battues ou des enfants sont dans tous les milieux
    IL est d' ailleurs plus difficile pour les travailleurs sociaux de travailler dans les campagnes ou chez les personnes qui ont une forme de notoriété commercant ou dans un milieu aisé
    cela dit on ne peut pas rester indifferent à la violence
    au cri de nos voisins
    ca nous ronge doucement
    on peu ce dire que memes si c' est nous quelqu' un les entend au moins et agis suivant ces sensibilités et ces moyens.
    ta petie voisine

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  3. Comment se protéger du passé ? des souvenirs ? Les cicatrices du coeur nous habitent toute notre vie. Comment ne pas être touché par la souffrance des autres ? Nous ne sommes pas des robots, nous sommes des êtres humains. Chacun à sa réponse, toi seule peut savoir ce qu'il te faut. Fais toi confiance...
    Bisous +
    Nicole
    PS Peut-être veux-tu rester proche de tes enfants ? Peut-être un jour la campagne (où demeure ta soeur je crois) t'appellera ?

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Et un gros MERCI !!!!

Humeur du jour

 Un si long silence! Au début, j'étais préoccupée par de nombreux rendez-vous médicaux puis le non désir pointa son nez et je m'éloi...