Humeur du jour

...non, non, je ne m'étais pas évanouie dans la nature. J'ai profité du moment, profité simplement de la vie et ce fut agréable.
Un lever avec une aube magnifique. Un coup de fil, LE coup de fil matinal avec ma soeur. (entre parenthèses, je me suis fait remonter les bretelles parce que j'avais répondu au commentaire de Françoise et pas au sien. Je la remercie donc solennellement et chaleureusement de ses voeux d'anniversaire. Entre nous, j'ai intérêt à le faire sinon je risque d'être victime de mesures de rétorsion.) 😊
Passage chez ma Miss pour déposer un ventilateur, récupérer une lettre et discuter quelques minutes. Je repartis en direction de Meyzieu. Rouler avec un matin clair et lumineux, au milieu d'une circulation raréfiée est un pur plaisir.
J'ai donc déposé nos courriers dans la boîte aux lettres de l'agence de la Caisse d'Epargne, me suis arrêtée pour faire le plein d'essence et suis allée ensuite sur la RN6. Un arrêt chez Gémo où j'ai trouvé ce que je venais chercher: des ballerines! Une précision: une pointure au dessus de celle que j'ai coutume de mettre et en grande largeur!
Et oui, la chaleur me transforme en Berthe au grand pied.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrade_de_Laon
Demi-tour et la visite en diagonale du magasin Conforama. Il y faisait chaud et je n'avais nulle envie de m'y attarder.
Je pris la décision de manger au restaurant voisin: Buffet 69. Un restaurant chinois caché derrière l'enseigne Steack House.
Le serveur m'installa à une table de 2 couverts et je déchantai rapidement. A 1 mètre de là, 2 jeunes yougoslaves, des employés du bâtiment, mangeaient en discutant à voix haute. Oh my gosh! Ils engloutirent 5 assiettes pleines à ras bord, accompagnées d'un litre de vin rouge. Leurs bruits de mandibules, de mastication me pourrirent le repas et je ne pus profiter du moment privilégié.
Comme d'habitude, la serveuse ne connaissait pas le mot "décaféiné". C'est la seconde fois dans ce restaurant. il serait temps d'offrir des cours de rattrapage à toutes ces jeunes femmes asiatiques.
La chaleur me cueillit et le thermomètre indiquant 30° achevèrent de m'épuiser. Retour tranquille chez moi. Vêtements ôtés rapidement et c'est en sous-vêtements que je m'effondrai pour une sieste méritée.