mardi 1 juin 2021

Humeur de la nuit

 



Deux heures de nuit passées devant des séries américaines vues maintes et maintes fois et les reportages sur les chercheurs d'opales australiens. Je souffre avec eux. Le climat et les conditions de vie semblent extrêmes. Rien de tout cela ici, à Lyon. La douceur des températures du moment rend optimiste et j'ai -enfin- pu arrêter de chauffer la maison. Fin Mai! Je redoute la facture.

Hier fut clos et me plut. Pas d'intrus inopportun, le chantier voisin ronronna au lieu d'exploser et seule la quantité de véhicules me gratta le derme. C'est une invasion quotidienne, au gré des ouvriers présents et actifs. Une noria sans fin ni début.

J'ai travaillé, sans doute pas à la hauteur de mes espérances, mais cela me satisfit. Quel curieux verbe que celui-là! Il donne un passé simple surprenant et décalé.

La fête en famille se met sur les rails. Le week-end est choisi et c'est un grand pas. Vous n'imaginez pas combien il est compliqué de concilier les emplois du temps de tous. Nous célébrerons donc la fête des Mères, les 7 ans de Miss Lucie et le premier anniversaire de mariage de mon fils et de sa femme. La date est choisie et il faudra décider du lieu, des plats et des cadeaux. J'en sue d'avance.

Hier fut aussi dédié à la correction d'un mémoire: une amie qui passe son diplôme d'infirmier en pratique avancée en psychiatrie. C'est le cinquième mémoire "médical" que je corrige et j'avoue adorer ça. J'en profite pour apprendre et engranger quelques connaissances supplémentaires. Inutiles mais gratifiantes pour un cerveau curieux comme le mien. 😇

Accepter de corriger c'est se mettre la pression. Je me dois d'être bonne et de bien faire le travail. Leur avenir en dépend et c'est une responsabilité enthousiasmante. A suivre!

Aujourd'hui devrait être à l'extérieur. Mes courses alimentaires et l'envie sous jacente d'aller visiter quelques boutiques. Je me retiens. Le virus et mon compte en banque sont des repères, des barrières qui me tiennent dans le droit chemin. 

Je me réjouis à l'idée d'aller me recoucher. A mon âge, il faut se satisfaire de petits plaisirs anodins et j'en profite.

http://pratique.leparisien.fr/conjugaisons/verbe-du-3eme-groupe/lettre-s/satisfaire-190000207168


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Et un gros MERCI !!!!

Humeur du jour

 Un si long silence! Au début, j'étais préoccupée par de nombreux rendez-vous médicaux puis le non désir pointa son nez et je m'éloi...