Humeur du jour

 Volets ouverts à l'instant sur cette belle énergie: 

Du bleu et du rose que je vais m'empresser d'apprécier car les nuages et les pluies arriveront bientôt.

Le calme règne encore sur le quartier. Seul le roulement lointain des véhicules sur le périphérique sud de Lyon vient troubler cette sérénité. 

Hier fut remuant. Récupérer Léna à 8h avant de prendre la direction du sud de la ville. Profiter de ce beau moment qu'est la visite matinale à tous les chevaux sortant la tête de leurs box. L'un d'eux l'embrassa même, provoquant un joli rire tendre de la demoiselle. Je la laissai ensuite entrer en tirant son énorme sac de matériel et je m'éclipsai puisque les personnes étrangères au club ne peuvent pas y pénétrer sans le fameux sésame qu'est le Pass sanitaire. Comme je vous l'ai précédemment expliqué: j'ai le Pass mais aucun adulte du club n'est abordable avant 9h. Retour chez moi par l'A43.  Des camions, des camions et des ouvriers, artisans, commerciaux pressés et peu aptes à respecter les codes. Ici, c'est "Père, garde toi à droite, Père garde toi à gauche!".

Une demi-heure de repos puis je reprenais la route. Périphérique sud en direction de Gerland et même problématique en y ajoutant des travaux. La conséquence? Des ralentissements et bouchons. Le soleil brillait et je n'étais pas en retard donc je tentai de relativiser et de patienter. Comment faire autrement? 

Je pénétrai enfin dans ce grand temple des soins médicaux et sportifs

https://www.portafaix-dieteticien-lyon.com/

https://www.facebook.com/dieteticien.lyon.portafaix.philippe/

Accueil souriant et détendu et le passage sur cette fameuse machine donnant un examen morphologique très détaillé

Des mesures et le bilan. Des compliments et le constat que cela fonctionne, des ajustements de la manière de manger au quotidien et je repartis, le soleil dans la tête.

Retour chez moi pour découvrir le parking envahi par les véhicules des ouvriers et la mauvaise surprise: le compresseur placé devant chez moi et dont le moteur émettait un bruit incroyable. Un tuyau le reliait à l'étage supérieur pour réaliser l'isolation. Nous eûmes à le supporter jusqu'au soir, à mon grand désespoir. Ces bruits génèrent des maux de tête et une immense fatigue.

Mon rendez-vous avec l'ostéopathe ayant été repoussé à cause d'une urgence, j'aurai donc la journée complète avec Léna. Hier, nous eûmes une discussion très drôle à propos de sa mère qu'elle juge "trop mère poule". Je lui confiai que moi aussi, je me considère comme telle mais sa réponse me désarçonna "oui, mais toi, avec tes trois enfants, tu divises par trois mais moi, je suis toute seule. Fille unique! Et maman, c'est pas une mère poule, c'est pire! C'est une mère poupoule!". J'ignore ce qu'elle entendait par là mais l'expression était amusante.

Ma fille me téléphona longuement entre son lieu de travail et le club où sévit Léna à Saint-Priest. J'eus plaisir à discuter avec elle. Elle découvre les joies et les galères d'être enseignant. Elle est surprise et cela me fait rire. Tout est nouveau pour elle et je la rassure en lui narrant mes mésaventures, déconvenues, humiliations mais aussi plaisirs.

Repas entre filles à midi mais j'ignore ce qui plaira à Léna et quel sera son choix. Non, pas McDo, s'il te plaît! A suivre!